Prologue: la tragédie de l'enfant
La cérémonie était médiocre, ratée pour tout dire. une seul rose perdant de ses pétales était présent sur sa tombe. Au delà de l'ambiance morbide qu'inspirait le cimetiere se trouvait un enfant, faible, ignorait du monde et très seul. Plus d'une goute de ses l'arme se versa sur la tombe l'homme qui fût appeler papa autrefois. Cette enfant était habiller pauvrement avec des chiffons comme vêtement il ne connaissait que tristesse sur les expression de son visages. Le ciel était sombre tel la tristesse qu'épanouissait cette enfant qui vit l'atrocité que nul ne voudrait avoir en fasse des yeux. Son père était un grand homme , non reconnus pour ses grands principes de l'équité dans le monde entier. un homme s'avança et prononça quelques mots
<<petit enfant de la rivière te rappelle-tu des dernières paroles de ton père? L'eau n'était tel pas si claire, le jours ou de sang et larme ne faisait qu'un?>>
Dans un état second, l'enfant se retourna pour contemplé ce grand homme aux cheveux roux.Sa Corpulence était imposante , il était habillé de grand tissus blanc brillant de toute sa splendeur. L'enfant d'un air trés étonné de ces paroles il s'approcha à pas de velour avec beaucoup d'hésitation, aprés quelques regards entre eux , l'enfant daigna répondre à cette homme avec de grande goute éfflerant son visage.
<< Qui êtes vous pour dire sa? Je ne vous connais point que faites vous sur la terre où mon père repose en paix, diantre! Connaitrez vous mon père ? Je n'ai entendue baliverne de votre bouche...>>
dit l'enfant en tremblant. Le temps des paroles de l'enfant, cette homme fût disparu dans l'amas du brouillard qu'imposé ce temps hostile. Intrigué par ces multitudes paroles que puit entendre de la bouche de l'homme, l'enfant se posa de multitude question dans sa tête d'une maniere trés confuse. Une fois le soleil levés le brouillard qui cachée le ciel disparure et prenant place à la masse imposante du soleil. L'enfant reposant sur la tombe de son père, trés affamé, il décida de son grès de vouloir partir pour achetés du pain. Osliade la ville de l'éblouissant soleil, C'était sa ville , il vivait en paix dans ce paysage trés artisanal et habitant par de nombreux paysans. Mais hélàs son nom ne réflété que la beauté du paysage et non un comparatif de la population trés hostile. Il ne connaissait qu'une personne qui lui offrit hospitalité pour quelque jours, un hommes trés admirables qui connaissait sont père et avait été d'une maison voisine auparavant avec lui. C'est bien ce qu'on pouvait dire, plus la pauvreté du peuple était , plus l'hospitalité étaient bonne. Une conversation s'engagea avec l'homme et l'enfant.
<< Quelle ennuie, je me lasse de cette monotonie , je l'en ai bien peur...>>
disant l'enfant en soufflant .
<< Si celà te languis et que tu as marre de cette lassitude , Pourquoi n'irait-tu pas sur les traces de ton pères en entrant dans la grande contrée de Eastmile>> dit l'homme.<< Pourquoi retournais où père as échoué? Voudrais vous vous débarrassé de moi? Je suis un coùt trop important pour les paysans que vous êtes?>> Dit L'enfant avec un aire méchant. Après avoir entendue ces paroles l'homme fût enragé par les paroles de cette enfant si aigris.
<<MARLIE C'EST COMME SA QUE TU NOUS PARLE, ON TA NOURRIS ON TA ACCEUILLIT! Je te pris de dégagé en vitesse de notre nid familliale je te chasse!>> cria l'homme enragée.
<< Pour la enième fois je t'ai dit que j'ai bannis mon prénom depuis des années, je ne veux plus entendre ce prénom! Plus jamais!>> dit Marlie en sanglotant et en claquant la porte de chez celui qui l'avais nourris, acceuillit et hebergée tant de fois. ces paroles, Marlie n'était pas prêts de les oubliées et elle ne fût nul doute qu'elle le faisait réflechire plus d'une fois sous cette pluie glaciale que recouvrait la pénombre et le son des hiboux de la nuit. il s'allongeat sous un vieux pont du village à moitié brisé par les intempérie de la région. Ensuite il pris conscience que nul doute devait être effectué, il devais partir sur le chemin des grands périle, le chemin où le sang de ces victimes n'était que routine, le chemin où sa vie allait peut être connaitre un sens. Pour arriver sur cette route marlie devras sans aucun doute volée et pillée pour acquérir de la nourriture et du matériel.à peine le soleil levée entourée d'une brume fine et le chant du coque retentissant, Marlie pris un sac qu'il trouva dans la poubelle du village et partit à la conquête de matériel qu'il pourrait être utile à sa future quête. Il se dirigea vers une femme enrobée qui était sans doute la vendeuse de pomme du marché, une conversation commença avec Marlie avec un visage gracieux et tout souriant et cette dame.
Marlie:<<Bonjours ma tite dame vous en avez des biens belles pommes dis donc!>>
La dame:<< Oui, mais je me demande ce que fait un petit clochard baveux devant mes pommes vient faire ici>>
sous l'étonnement du peuple, Marlie souleva d'une grande force le grand draps qui fait tombé toute les pommes dans son sacs à dos et se mit à courir en criant:<<EASTMILE me voilà!>> . La dame d'un grand aire furax appela en criant, les forces de l'ordre, mais la rapidité de l'enfant n'était que trop pour ses agents donc il eut vite de l'avance sur ces grands hommes habillé d'un grand uniforme noire et très sombre.
FIN DE LA PROLOGUE